MONASTÈRE DU CARMEL "La Ratrie"
31/33 rue de la Pérelle
61250 Cuissai
Tél : 02 33 26 15 66
Site web : https://carmel-alencon.fr
Histoire
Un premier carmel fut fondé en 1778 par Madame Louise de France (5e fille de Louis XV), alors carmélite sous le nom de Mère Thérèse de Saint Augustin, prieure du carmel de Saint-Denis. Les carmélites furent dispersées au moment de la Révolution française et ne purent se regrouper par la suite.
Ce fut seulement en 1888, l’année où sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, née en 1873 à Alençon, entrait au carmel de Lisieux, que sa ville natale eut à nouveau un monastère des filles de sainte Thérèse d’Avila. A la demande de Monseigneur François-Marie Trégaro, évêque de Séez, six moniales du carmel du Mans quittèrent leur monastère pour venir fonder un carmel à Alençon, fondation qui se fit dans une très grande pauvreté, le 20 février 1888.
Le monastère est dédié au Sacré-Cœur et à l’Immaculée. La chapelle ne put être construite qu’à partir de 1939. Elle a été consacrée le 25 mars 1942.
La maison d’accueil date du début du XVIe siècle. Elle fut construite par le bienheureuse Marguerite de Lorraine, duchesse d’Alençon. En clôture se trouvent deux tours médiévales des remparts de la ville.
La communauté
Les carmélites d’Alençon vivent selon la règle et les constitutions des moniales déchaussées de l’Ordre de la bienheureuse Vierge Marie du Mont-Carmel, adaptées selon le Concile Vatican II et les lois canoniques en vigueur, conformément aux normes données par Sa Sainteté le pape Jean-Paul II le 15 octobre 1984 et promulguées par ce même souverain pontife le 8 décembre 1990, en la solennité de l’Immaculée Conception.
Les carmélites déchaussées, sous l’impulsion de l’Esprit-Saint, se vouent à la solitude de la clôture afin de s’y adonner intégralement à la contemplation. Elles prient et offrent leur vie de sacrifices, en union avec Notre Seigneur Jésus-Christ, pour les défenseurs de la foi, prêtres et théologiens, et pour le salut de la multitude des âmes. Spécialement consacrées à la Très Sainte Vierge Marie par la profession religieuse, les carmélites d’Alençon veulent suivre la petite voie tracée par sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus : « Au cœur de l’Église, ma Mère, je serai l’amour » et « C’est seulement par la prière et le sacrifice que nous pouvons être utiles à l’Église » (Derniers entretiens, 8 juillet 1897).
Leur travail consiste principalement dans les taches ménagères et le jardin ; la fabrication d’Enfants-Jésus et de personnages de crèches en cire ; la confection de chapelets et de scapulaires.
Ce fut seulement en 1888, l’année où sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, née en 1873 à Alençon, entrait au carmel de Lisieux, que sa ville natale eut à nouveau un monastère des filles de sainte Thérèse d’Avila. A la demande de Monseigneur François-Marie Trégaro, évêque de Séez, six moniales du carmel du Mans quittèrent leur monastère pour venir fonder un carmel à Alençon, fondation qui se fit dans une très grande pauvreté, le 20 février 1888.
Le monastère est dédié au Sacré-Cœur et à l’Immaculée. La chapelle ne put être construite qu’à partir de 1939. Elle a été consacrée le 25 mars 1942.
La maison d’accueil date du début du XVIe siècle. Elle fut construite par le bienheureuse Marguerite de Lorraine, duchesse d’Alençon. En clôture se trouvent deux tours médiévales des remparts de la ville.
La communauté
Les carmélites d’Alençon vivent selon la règle et les constitutions des moniales déchaussées de l’Ordre de la bienheureuse Vierge Marie du Mont-Carmel, adaptées selon le Concile Vatican II et les lois canoniques en vigueur, conformément aux normes données par Sa Sainteté le pape Jean-Paul II le 15 octobre 1984 et promulguées par ce même souverain pontife le 8 décembre 1990, en la solennité de l’Immaculée Conception.
Les carmélites déchaussées, sous l’impulsion de l’Esprit-Saint, se vouent à la solitude de la clôture afin de s’y adonner intégralement à la contemplation. Elles prient et offrent leur vie de sacrifices, en union avec Notre Seigneur Jésus-Christ, pour les défenseurs de la foi, prêtres et théologiens, et pour le salut de la multitude des âmes. Spécialement consacrées à la Très Sainte Vierge Marie par la profession religieuse, les carmélites d’Alençon veulent suivre la petite voie tracée par sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus : « Au cœur de l’Église, ma Mère, je serai l’amour » et « C’est seulement par la prière et le sacrifice que nous pouvons être utiles à l’Église » (Derniers entretiens, 8 juillet 1897).
Leur travail consiste principalement dans les taches ménagères et le jardin ; la fabrication d’Enfants-Jésus et de personnages de crèches en cire ; la confection de chapelets et de scapulaires.
Horaire des messes (elles sont habituellement célébrées dans la forme extraordinaire)
Dimanches et fêtes d’obligation : 9 h (messe chantée en grégorien)
Semaine : 8 h
Pour les messes les jours fériés (hors les fêtes d’obligation) : se renseigner.
Semaine : 8 h
Pour les messes les jours fériés (hors les fêtes d’obligation) : se renseigner.
Dimanche et fêtes d’obligation : salut du saint-sacrement à 17 h (sauf exceptions)
Accès
La Communauté est arrivée le 5 août 2019 dans ce site de "La Ratrie"*, à Cuissai, à 8 kms d'Alençon.
Accès
La Communauté est arrivée le 5 août 2019 dans ce site de "La Ratrie"*, à Cuissai, à 8 kms d'Alençon.